« Plus les zones de repos dans les cen­tres-vil­les sont variées, plus elles inci­te­r­ont les gens à s’y attar­der. Des grou­pes de per­son­nes com­mu­ni­quant entre elles atti­rent sou­vent d’autres per­son­nes à s’asseoir éga­le­ment. De tels lieux con­vi­viaux génè­rent une ambi­ance agréa­ble où les off­res des com­mer­ces envi­ron­nants seront mieux per­çues et enre­gis­trées. Un nombre suf­fi­sam­ment élevé de siè­ges pour tous les pas­sants comme, par exemple, des famil­les, per­son­nes âgées, enfants, jeu­nes, tra­vail­leurs et tou­ris­tes peut ainsi inci­ter à pas­ser plus de temps au centre-ville et par con­sé­quent avoir un impact posi­tif sur les ven­tes des com­mer­ces environnants ».